Instants présents, conscients... bribes d'existence qui tissent peu à peu une histoire, une mémoire.
Bienvenue - Welcome - Namaste
dimanche 28 avril 2013
jeudi 25 avril 2013
mercredi 24 avril 2013
vendredi 19 avril 2013
mercredi 17 avril 2013
A Poem on Awakening pages 03, 04
You realize it's time to stop hoping and waiting for
something to change or for happiness, safety and
security to come galloping over the next horizon
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Tu prends alors conscience qu’il est temps de cesser
d’espérer et d’attendre que quelque chose change,
ou d’imaginer que le bonheur, la sécurité et le bien-être
puissent tomber du ciel, sans crier gare.
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Tu prends alors conscience qu’il est temps de cesser
d’espérer et d’attendre que quelque chose change,
ou d’imaginer que le bonheur, la sécurité et le bien-être
puissent tomber du ciel, sans crier gare.
You come to term with the fact that you are neither
Prince Charming nor Cinderella. And that , in the real world
There aren't always fairy-tale endings - or beginnings for that matter.
And that any guarantee of "happily ever after" must begin with you;
And in the process a sense of serenity is born of acceptance.
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Tu acceptes peu à peu, que tu n’es ni Cendrillon,
ni le Prince Charmant. Et que, dans le monde réél,
les choses ne se terminent pas toujours, ni même ne
commencent d’ailleurs, comme dans les contes de fées.
Et que toute garantie de “bonheur pour la vie” doit venir
de l’intérieur et non des autres.
Une sensation de sérénité nait alors du sentiment d’acceptation.
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Tu acceptes peu à peu, que tu n’es ni Cendrillon,
ni le Prince Charmant. Et que, dans le monde réél,
les choses ne se terminent pas toujours, ni même ne
commencent d’ailleurs, comme dans les contes de fées.
Et que toute garantie de “bonheur pour la vie” doit venir
de l’intérieur et non des autres.
Une sensation de sérénité nait alors du sentiment d’acceptation.
mardi 16 avril 2013
A poem on Awakening... pages 01 & 02
A time comes in your life when you finally get it
When in the midst of all your fears and insanity
You stop dead in your tracks and somewhere
the voice inside your head cries out " ENOUGH"
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Un jour arrive dans la vie où....
tu t’arrêtes brusquement, sans savoir pourquoi,
tu hésites, tu doutes, tu as peur...
Puis tu entends bientôt quelque part dans ta tête,
une petite voix crier : “ASSEZ!”
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Un jour arrive dans la vie où....
tu t’arrêtes brusquement, sans savoir pourquoi,
tu hésites, tu doutes, tu as peur...
Puis tu entends bientôt quelque part dans ta tête,
une petite voix crier : “ASSEZ!”
Enough fighting and crying or struggling to hold on
And, like a child quieting down after a blind tantrum,
your sobs begin to subside, you shudder once or twice,
You blink back your tears and begin to look at the world
through new eyes.
This is your awakening.
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Assez de résistance, assez d’affrontements, assez de pleurs
pour tenir le coup. Comme l’enfant s’apaise
après un accès de colère aveugle, tu trembles encore une ou
deux fois, puis les sanglots se dissipent, tes paupières se ferment
et quelques dernières larmes salées roulent le long de tes joues.
Tu commences à regarder le monde avec des yeux nouveaux.
Il s’agit de ton Eveil.
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Assez de résistance, assez d’affrontements, assez de pleurs
pour tenir le coup. Comme l’enfant s’apaise
après un accès de colère aveugle, tu trembles encore une ou
deux fois, puis les sanglots se dissipent, tes paupières se ferment
et quelques dernières larmes salées roulent le long de tes joues.
Tu commences à regarder le monde avec des yeux nouveaux.
Il s’agit de ton Eveil.
dimanche 14 avril 2013
mercredi 10 avril 2013
Little man
IF...
IF you can keep your head when all about you
Are losing theirs and blaming it on you,
If you can trust yourself when all men doubt you,
But make allowance for their doubting too;
If you can wait and not be tired by waiting,
Or being lied about, don't deal in lies,
Or being hated, don't give way to hating,
And yet don't look too good, nor talk too wise:
Are losing theirs and blaming it on you,
If you can trust yourself when all men doubt you,
But make allowance for their doubting too;
If you can wait and not be tired by waiting,
Or being lied about, don't deal in lies,
Or being hated, don't give way to hating,
And yet don't look too good, nor talk too wise:
If you can dream - and not make dreams your master;
If you can think - and not make thoughts your aim;
If you can meet with Triumph and Disaster
And treat those two impostors just the same;
If you can bear to hear the truth you've spoken
Twisted by knaves to make a trap for fools,
Or watch the things you gave your life to, broken,
And stoop and build 'em up with worn-out tools:
If you can think - and not make thoughts your aim;
If you can meet with Triumph and Disaster
And treat those two impostors just the same;
If you can bear to hear the truth you've spoken
Twisted by knaves to make a trap for fools,
Or watch the things you gave your life to, broken,
And stoop and build 'em up with worn-out tools:
If you can make one heap of all your winnings
And risk it on one turn of pitch-and-toss,
And lose, and start again at your beginnings
And never breathe a word about your loss;
If you can force your heart and nerve and sinew
To serve your turn long after they are gone,
And so hold on when there is nothing in you
Except the Will which says to them: 'Hold on!'
And risk it on one turn of pitch-and-toss,
And lose, and start again at your beginnings
And never breathe a word about your loss;
If you can force your heart and nerve and sinew
To serve your turn long after they are gone,
And so hold on when there is nothing in you
Except the Will which says to them: 'Hold on!'
If you can talk with crowds and keep your virtue,
' Or walk with Kings - nor lose the common touch,
if neither foes nor loving friends can hurt you,
If all men count with you, but none too much;
If you can fill the unforgiving minute
With sixty seconds' worth of distance run,
Yours is the Earth and everything that's in it,
And - which is more - you'll be a Man, my son!
' Or walk with Kings - nor lose the common touch,
if neither foes nor loving friends can hurt you,
If all men count with you, but none too much;
If you can fill the unforgiving minute
With sixty seconds' worth of distance run,
Yours is the Earth and everything that's in it,
And - which is more - you'll be a Man, my son!
Rudyard Kipling
dimanche 7 avril 2013
vendredi 5 avril 2013
mercredi 3 avril 2013
lundi 1 avril 2013
Le chat des Ruffes...
Plus silencieux et discret qu'aucun autre spécimen animal grâce à ses coussinets délicats, sa fourrure tigrée et son corps souple et léger, il se déplace imperceptiblement parmi la couverture luxuriante de roseaux sur les berges du lac du Salagou.
Le chat de la Ruffe est une espèce non encore homologuée de Felis silvestris catus, qui parcoure le paysage à la recherche de nourriture, mettant à l'épreuve son redoutable instinct de prédateur et endossant ainsi son rôle ancestral de passeur d'âmes hors pair.
Il lui arrive aussi parfois d'obtenir sa pitance en même temps qu'un abri pour une sieste fugace, lors d'intempéries notamment, chez des indigènes charitables.
Il lui arrive aussi parfois d'obtenir sa pitance en même temps qu'un abri pour une sieste fugace, lors d'intempéries notamment, chez des indigènes charitables.
Il peut alors se montrer flatteur, cajoleur et même caressant, pourtant, il ne s'attarde jamais bien longtemps.
Solitaire, indépendant et libre avant tout, il n'a de cesse de tracer sa route sur les innombrables chemins de terre rouge qui jalonnent son immense territoire.
Solitaire, indépendant et libre avant tout, il n'a de cesse de tracer sa route sur les innombrables chemins de terre rouge qui jalonnent son immense territoire.
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